28.8.04
La nouvelle vie de la Subaru rouge
Peut-on faire un bien-cuit pour une voiture. Quelle question! Certaines diront surement oui d'autres non.
Je m'en tiendrai qu'à quelques mots, un genre d'au revoir:
C'est fait elle nous a quitté pour une nouvelle vie. La Subaru rouge a trouvé un nouveau propriétaire et entamera sa carrière comme livreuse de pizza quelque part dans le secteur Aylmer. Quelle belle retraite pour cette belle routière entrée dans ma vie en 1996.
De toute façon, c'était une bonne voiture qui nous a amené partout où nous voulions. De New York au fin fond de la forêt boréale le long de la Coulonge (où elle y perdit sa pan à huile....) en passant par la réserve des Laurentides. On l'aurait bien amené avec nous mais VSO ne couvre pas les frais pour les voitures à charge. Seulement ceux du conjoint accompagnateur.
24.8.04
La fameuse Subaru Rouge
Prochaine étape de débarras, la vente de la voiture.
Maintenant sur une note absurde, le printemps est finalement arrivé à Gatineau, le 24 août 2004. Notre lilas dans la cour arrière est en fleurs. Environnement Canada avait raison, nous aurons un printemps tardif. Je prévois cependant un très court été...!
Bonne journée!
19.8.04
Pas d'amour, pas de mariage; pas de mariage, pas de visa
Dans ce qui a été une cérémonie brève et remplie de simplicité, agrémentée par la présence de parents et amis, nous avons célébré ce que plusieurs ont qualifié de mariage de l'année - catégorie insolite- . Voyage pré-nuptial, faire-parts électroniques, robe de la mariée orange, marié sans cravate, réception venteuse et gateau délicieux . Ce fut parfait et nous avons apprécié l'évènement.
Qui aurait dit qu'un jour nous nous marierions, surement pas nous. Comme le titre l'indique, il existe des raisons administratives derrière celui-ci mais également une grande portion d'amour. Comme une image vaut milles mots, on joint à cette entrée, ces images mémorables.

L'anneau

Fin de soirée bruyante (Merci Sylvie!)
13.8.04
100% Loué
Comme première expérience de locateur, nous pouvons tirer au moins trois constats :
- Les chercheurs de logements ne lisent pas les annonces. On nous a demandé des 2 chambres, des bachelors et des maisons
- Une fois la masse critique de chercheurs atteinte, la compétition entre en jeu et on se retrouve avec 3 candidatures en moins de 12 heures.
- Le chercheur moyen rode dans les quartiers, le cellulaire à la main et à l’affût du logement libre.
Avec la signature du bail, une étape irréversible est réalisée en vue de notre départ. Dans le collimateur pour les prochaines semaines : vendre une veille Subaru rouge, appuyer nos globules blancs dans leur guerre biologique contre les particules de la rage et de l’encéphalite japonaise et peaufiner nos demandes de visa. Entre-temps, nous profiterons de la fraîcheur d’août. Il fait plus de 30 degrés Celsius à Iligan.